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Photo du rédacteurPatricia Buigné

La Cellule, premier Cercle du Vivant…

Dernière mise à jour : 9 avr.


Cinquante milliards ! Nos corps sont constitués de cinquante milliards de cellules ! Elles font tellement partie de nous que nous ne nous interrogeons même pas sur ce miracle. Et d’abord, nous souvenons-nous comment est né ce Premier Cercle du Vivant ? Retour à la Source…


L’atmosphère primitive

Il y a quinze milliards d’années : le Big Bang présumé.  Des particules atomiques se forment puis se condensent, donnant naissance aux étoiles, dont le Soleil. Autour du Soleil, des débris tournent dans l’espace et s’agglutinent pour former les planètes. Parmi elles, la Terre, une boule de matière en fusion, sans atmosphère, une fournaise totalement minérale, ne contenant aucune trace de vie visible, mais régulièrement bombardée par une pluie de comètes et d’astéroïdes. Les roches fondent, se mélangent et libèrent des gaz et de la vapeur d’eau. C’est l’atmosphère primitive de la Terre.

Le premier environnement


La température de la Terre diminue. Sa surface se solidifie. La vapeur d’eau se condense et les premières gouttes s’abattent sur le sol. Bientôt, c’est une pluie terrible, violente et bouillonnante qui tombe pendant des millions d’années et qui s’ajoute au bombardement électro-magnétique… Les cratères produits par les météorites se remplissent d’eau et l’océan se forme. Cette eau, sans oxygène, contient des molécules chimiques en suspension : les acides aminés,  vingt « briques » élémentaires à la constitution de la vie. C’est la « Soupe Primitive », premier environnement où toutes les conditions sont réunies pour qu’apparaisse la toute première cellule vivante.

Hors du chaos, la cellule…


Hors du chaos des molécules, l’ordre veut se faire. Les « briques » de la Vie, c’est-à-dire les acides aminés, se regroupent par associations variées et donnent les protéines dont la forme allongée diffère, selon celle des acides aminés choisis et selon leur assemblage spécifique. Il y en aura 150 000 modèles possibles. Beau début d’organisation, mais nous comprenons bien aujourd’hui combien les grands volumes sont difficiles à gérer sans confusion. Heureusement, l’évolution a une idée. On pourrait travailler sur des plus petits volumes…  Il suffirait alors de fabriquer une membrane pour protéger un petit nombre de protéines, sans toutefois que celles-ci soient isolées du reste de l’environnement. Cette membrane devra être souple et fluide et suffisamment perméable pour permettre les échanges métaboliques et le libre accès, à l’intérieur, des nutriments de l’Eau de Vie. Et c’est ainsi que la cellule fut…



Au centre de la cellule, le noyau avec l’ADN…


Tout Cercle appelle un centre duquel la Vie rayonne. Ce centre, ce sera le noyau, dépositaire de la précieuse double hélice de l’ADN, cette banque de données qui porte des milliers de gènes encodant l’information des caractéristiques du corps humain. Et comme notre cellule n’a pas dans l’idée de rester seule, elle se donnera les moyens de se reproduire en fabriquant un brin virtuel (l’ARN) qui servira à la duplication de l’ADN d’autres cellules.


Au cœur de la cellule, le mouvement, pulsation de vie…


Et le mouvement qui fait la Vie ? L’évolution y a pensé… La plupart des acides aminés ont une charge électrique positive ou négative. Or, la protéine, qui a choisi sa séquence personnelle parmi les vingt acides aminés à disposition, s’est dotée d’extrémités dont la charge est de même signe ou de signe opposé. Il suffit alors d’un signal extérieur pour que ses extrémités se repoussent ou s’attirent selon leur charge. A la fin du signal, la protéine reprend sa forme allongée de base. Mais voilà que, dans ce jeu de mouvement, notre protéine crée des liens avec ses sœurs avoisinantes, les entrainant elles-mêmes en rotation, dans un système d’engrenages dont l’énergie assure les fonctions métaboliques de digestion, respiration et de contraction musculaire. Voilà comment notre protéine se retrouve alors au cœur du mouvement, dans cette « danse de la Vie » qui fait pulser la cellule.

La membrane, comme un cerveau…


« Mais d’où vient donc ce “signal”  auquel mes protéines répondent, se demande la cellule étonnée ? Qui est le maître de ballet ?  Les gènes de l’ADN ? Non, ils sont bien le programme, mais pas le programmeur ! Qu’on me retire le noyau dans ce procédé appelé “énucléation” et vous verrez bien que je continuerai à vivre pendant quelque mois. Je ne finirai par mourir que parce que je ne pourrai plus me reproduire. Par contre, si on me retire la membrane… alors là, je deviendrai comateuse, comme si on débranchait mon cerveau et je mourrai !» Voilà comment pourrait s’exprimer notre cellule…

Le cerveau dans la peau !

La membrane, l’enveloppe, la peau… Le mot est lâché !  Nous savons combien les stimuli tactiles précoces jouent un rôle vital dans notre développement. Ne dit-on pas que le toucher est le « père de tous les sens » ? Nous y reviendrons…  C’est la membrane de la cellule qui capte les informations du milieu décidant lesquelles peuvent rentrer ou pas dans l’espace intracellulaire pour réguler les fonctions internes.

Comme le ferait un système nerveux, la membrane analyse les milliers de stimuli qu’elle reçoit grâce à ses protéines réceptrices et effectrices (l’action) enchâssées dans sa peau souple et fluide. Elle les reçoit sous forme de « perceptions » que notre corps tout entier traduira en « sensations » et notre esprit en « émotions »…


L’aspect vibratoire


Or, si l’on considère, dans la perspective quantique, que l’univers est un ensemble de champs d’énergie individuels tissés dans un canevas d’interactions, nous pouvons postuler que toute information erronée, en provenance de l’environnement, va changer les paramètres biologiques de nos cellules et modifier le champ énergétique. Or, il est des interférences destructives provenant de trois sources de stimuli :

  1. traumatiques et physiques (chocs, accidents),

  2. toxiques et chimiques (molécules de médicaments, les métaux , pesticides et autres polluants),

  3. mentales et ondulatoires (ondes wifi, lignes à haute tension, stress)…

Les soins énergétiques, une aide dans l’auto-guérison

Comment créer des interférences constructives réparatrices ? Commençons déjà par nous préserver au maximum des diverses pollutions énergétiques de l’environnement. Méfions-nous également des messages négatifs de l’entourage : le médecin qui dit à son malade (même s’il pense cela sans le dire !) qu’il n’en a plus que pour quelques jours à vivre, les dépistages organisés des cancers (mammographies, coloscopies) qui stressent les assurés et les font vivre davantage dans la crainte de la maladie que dans la joie de la santé ! Accordons davantage de place aux soins énergétiques susceptibles de corriger les champs vibratoires défectueux : chiropractie, ostéopathie, thérapies corporelles, homéopathie, acupuncture, nourriture naturelle, compléments alimentaires… Par son approche holistique, le soin donné par le thérapeute énergétique, peut permettre à la vie de retrouver son flux naturel. Accordé à l’univers, le thérapeute est aussi accordé à la fréquence vibratoire de coeur. Et, comme nos cellules ont juste besoin qu’on leur rappelle qu’elles font partie d’un Tout, un soin par la Conscience Vibratoire du Toucher  peut être une bonne indication par son action directe.  Prenons en compte aussi l’effet placebo qu’il est bien dommage d’associer aux malades imaginaires et aux patients influençables. Célébrons plutôt “l’effet croyance”, cette “foi” nécessaire, confortée par la relation positive avec l’accompagnant. Elle est une preuve de la capacité de guérison de l’esprit et du corps.

De nos “croyances” à l’épigénétique


Accorde-t-on suffisamment d’importance aux ondes de nos pensées qui font partie intégrante de l’ensemble des stimuli ?  Ces ondes véhiculent aussi bien des croyances limitatives et autres sabotages en provenance de notre inconscient, que les pensées créatrices et génératrices de vie que nous cultivons. « La position de l’observateur modifie le système qu’il observe » nous dit la physique quantique. Or comment observons-nous la vie à travers le filtre de l’environnement dans lequel nous évoluons ? Allons-nous engendrer une destruction ou bien une création selon que ce filtre soit purifié ou non ? Une Création ! Retenons surtout cela… Selon cette nouvelle biologie, nous pouvons même modifier le fonctionnement des gènes dont on hérite à la naissance ! C’est comme si ces derniers étaient contrôlés par une série d’interrupteurs et que la nourriture qu’on avale, l’air qu’on respire ou même les câlins que l’on reçoit avaient le pouvoir d’activer ces interrupteurs. C’est en tout cas l’objet d’étude de cette nouvelle science appelée « épigénétique » (épi signifiant « au-dessus », comme dans le mot épiderme = au-dessus du derme).

Quand les Cellules s’assemblent…


La première cellule (une bactérie) est née dans l’eau, disions-nous au début de cet article… Dans cette Soupe Primitive au milieu ambiant si favorable, ces organismes unicellulaires n’ont pas tardé à se multiplier, vraisemblablement jusqu’au surpeuplement. Se sont-ils mis à se heurter les uns contre les autres pour tenter chacun de trouver sa place ? Ont-ils été forcés, en raison de cette nouvelle promiscuité, de chercher une solution efficace  de coopération sous la forme d’un regroupement en communautés multicellulaires altruistes dont l’humain serait le résultat final ? Contrairement à ce que disait Darwin, la compétition n’est pas seulement à la base de l’évolution. Les travaux de Jean-Baptiste de Lamarck, prédécesseur de Darwin, qui proposent une notion de coopération dans une adaptation permanente, laissent imaginer que la survie dans la communauté tient davantage à l’alliance qu’au combat. Que se passerait-il, en effet, si chacune de nos milliards de cellules décidait de vivre pour elle seule, de combattre pour être la reine, plutôt que de coopérer avec ses cellules compagnes ? A la survie du plus fort, la survie du plus généreux est plus probable. Dans ce contexte, il ne s’agit plus de guerre mais d’Amour.


Le Corps humain – La solidarité des Cellules


Ce titre de paragraphe est une rubrique du “Dictionnaire du livre de la nature” d’Omraam Michaël Aïvanhov, avec, à sa suite, la définition suivante : Selon les organes auxquelles elles appartiennent (coeur, estomac, poumons cerveau…) les cellules de notre corps sont comme des individus de natures différentes, occupées à des activités différentes. Elles pourraient donc se sentir étrangères les unes aux autres, et même hostiles. Mais dans un corps en bonne santé, on dirait qu’elles ont conscience d’appartenir à un seul être qui les embrasse et les unit toutes : l’homme lui-même. De façon analogue, les humains sont les cellules de cet immense organisme, la nature qui est le corps du Créateur. Le Créateur est le seul être véritablement existant et toutes les créatures sont des cellules de son corps. Mais comme la conscience de ces cellules que sont les humains n’est pas unifiée, ils s’opposent, se heurtent… Ils se croient justifiés dans leur haines et leurs affrontements, s’imaginant défendre de grandes causes, la nation et la race. […] Tant qu’ils cherchent à exclure des créatures qui font partie comme eux de l’Être sublime, le Créateur, ils entrent en conflit avec le Tout et ils s’excluent eux-mêmes du Tout.


Quand les Cercles s’assemblent…


Dans “le Cercle des cercles, quand les Cercles s’assemblent“… nous parlons exactement de la même chose et l’illustration ci-dessous, qui s’apparente si fort au mouvement des protéines en engrenage, ne pourrait mieux résumer l’élan de ce blog !


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Nota : Je ne suis pas une scientifique. Pardonnez-moi s'il y a quelques erreurs. Pour écrire, je me suis référée à divers sites d’astrophysique ainsi qu'à à l’excellent livre du biologiste cellulaire Bruce Lipton « la Biologie des Croyances ».



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